Ses créations sont l’histoire d’une fascination précoce et perpétuelle.
Une révélation, James Bond au cinéma dans “L’homme au pistolet d’or”.
Il crée sa première bande dessinée en noir et blanc sous les traits d’un agent secret aux allures de 007. Cinq aventures, premières inspirations, prémices d’une passion et d’un long processus de création. À onze ans, il change de décor, puise dans la science-fiction une nouvelle source d’inspiration.
“La guerre des étoiles” de Georges Lucas, le transporte dans un autre univers qu’il explore à la pointe du pinceau en dessinant ses aventures à l’encre de chine, en noir et blanc. Sa technique s’affine, son style se précise.
À quinze ans, il peint à l’huile et à l’acrylique et pendant une dizaine d’années, réalise des tableaux et des dessins hyper réalistes à l’aérographe et au pinceau. En 2000, changement de technique, nouvelles influences. En pleine complémentarité artistique, les univers se rencontrent, les décors naissent et s’animent en grand format. Souvent inspirées par la beauté des statues antiques et des mannequins de haute couture, les mêmes courbes se redessinent et évoluent par l’incrustation d’un animal superbe et puissant qui côtoie tout naturellement une voiture de sport. Ses œuvres pop art s’exposent en galerie, où l’artiste décroche ses premières ventes en 2002. Christophe Mandallaz est un capteur d’images dynamiques et percutantes.
Ses inspirations il les trouve dans le sport, le cinéma, la mode, le design, l’automobile, l’architecture, les voyages ou les bouts du monde oubliés. Son travail d’illustration au trait lui permet de transformer des images, d’assembler des univers pour créer une matière visuelle à haute réactivité. Il travaille avec des encres ultrachromes sur différents supports comme l’aluminium brossé, le métal rouillé, les sculptures d’animaux en résine.
Sa passion pour l’automobile et le sport automobile l’a conduit en 2018 à travailler sur des capots de voitures de sport comme celui de la Porsche 911 qu’il affectionne tout particulièrement pour son esthétique et sa fluidité.
Source: Christophe Mandallaz